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Jean-Baptiste Hamonic, 27 ans, nouveau maire de Villepreux

Pour mieux connaître le parcours de Jean-Baptiste, nouveau maire de Villepreux, nouveau vice-président chargé des transports et des mobilités durables à l’agglomération de Saint-Quentin en Yvelines, voici son portait et ses projets pour la ville, tels que le Mouvement Démocrate les publie sur son site.

Vous pouvez lire cet article en cliquant ICI

Villepreux a élu un jeune maire !

De nouvelles générations du Mouvement Démocrate ont été élues. Après Richard Delepierre au Chesnay-Rocquencourt ( Voir article de Actu 78), Cedric Penba-Marine à Port-Marly (article du site MoDem 78 ICI), élus tous deux le 15 mars, c’est Jean-Baptiste Hamonic, délégué départemental du Modem 78, qui est élu à Villepreux ce 28 juin.

Victoire nette et sans bavure

Avec 55,72 %, la victoire est nette et sans bavure pour la tête de liste de « Villepreux naturellement ». Ce résultat vient confirmer un premier tour où il était déjà arrivé largement en tête avec 38,98 %. (extrait de l’article actu 78)

Voir aussi l’article de la Gazette de Saint-Quentin en Yvelines qui lui est consacré et un extrait
Photo en tête de l’article,  Crédits Actu 78
L’email a bien été copié

 

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Voeux de Bruno Millienne, MoDem 78

VERS LA CONSTRUCTION D’UN NOUVEAU PACTE SOCIAL

 Mes chers amis,

Les fêtes de Noël viennent à peine de s’achever qu’il est déjà temps de tourner la page de 2019 pour ouvrir celle de 2020.

Avant toutes choses, le bureau du Modem78 et moi-même espérons que vous avez passé de très belles fêtes de fin d’année en famille sous le signe de l’amour et de la sérénité. Nous vous souhaitons de très belle année 2020. Qu’elle vous apporte tout ce que vous pouvez souhaiter et surtout bonheur et santé.

 Pour ce qui nous concerne, cette trêve des confiseurs fut courte et studieuse, forte de réflexions chères à notre famille politique.

Un constat tout d’abord : le monde, et là je parle de géopolitique, ne va pas bien. On voit partout surgir des révoltes, des mécontentements. Les peuples du monde grondent. Ils ne supportent plus la hausse croissante des inégalités. Ils sentent bien, sans parvenir à en dessiner réellement les contours, que le monde de demain sera compliqué, moins stable, plus anxiogène. Alors, parfois, leurs peurs les poussent à choisir les chemins de la facilité. Ceux qu’ils connaissent. Et c’est ainsi que l’on voit ressurgir du fin fond des entrailles de la terre, cet hydre maléfique du repli sur soi, du populisme, du nationalisme qui amènent au pouvoir, les Trump, Bolsonaro et autres Boris Johnson…

Ces oiseaux de mauvais augure ne résoudront en rien les fractures qui secouent notre planète. Nous le savons bien. Ils ne détiennent aucune vérité, aucune solution.

Notre monde change à vitesse grand V.

Physiquement d’abord, car, plus personne ne peut le nier, notre planète est en danger d’extinction. L’écologie n’est plus une doctrine politique, mais bien une réalité qui s’impose à tous. La préservation de notre planète, de notre bien commun est la priorité des priorités pour les années à venir.

Mais cette préservation doit se faire dans l’acceptation de tous : sans surcoût pour les plus démunis d’entre nous et en accompagnant la nécessaire transition industrielle sans brutalité. C’est cet équilibre précaire que nous devons préserver à tout prix pour ne pas créer d’autres malheurs.

Sociétalement  ensuite. La révolution numérique de l’Intelligence Artificielle en est à ses tous débuts. Elle va, sans nul doute, changer radicalement notre façon de vivre, de travailler et d’interagir avec les autres. Il nous faut arriver à imaginer ces changements, à les anticiper. Il nous faut réinventer notre pacte social. Celui que le Conseil National de la Résistance avait créé au sortir de la deuxième guerre mondiale et que le monde entier nous envie est devenu obsolète. C’est à nous qu’il revient, pays des lumières, de créer celui de demain.

Nous avons commencé avec la réforme des retraites. Une réforme difficile. Difficile à accepter. Difficile à expliquer. Mais qui tient principalement compte des évolutions que nous allons vivre. Un Euro cotisé offrant les mêmes droits à chacun d’entre nous. En voici le principe universel que le Modem défend depuis toujours. Un principe, que notre Président, François Bayrou, exposait déjà en 2002 lors de sa campagne des présidentielles.

Mais, et j’ai eu l’occasion de m’exprimer à plusieurs reprises sur ce sujet : universalité n’égale pas uniformité. Ce serait fou de le croire ou de le faire croire. La retraite universelle par point est la base d’une équité et d’une justice sociale qui doit tenir compte des spécificités des différents métiers d’aujourd’hui et de demain. C’est un système juste et équitable en cela qu’il peut s’adapter à la situation de chacun et tenir compte de l’évolution de chaque métier dans le temps.

C’est la première pierre posée à l’édifice de la construction d’un nouveau pacte social.

D’autres viendront, à commencer par la sécurisation de l’emploi des seniors. Certes après 55 ans nous sommes moins vaillants physiquement, mais nous sommes au sommet de nos compétences. S’en passer est une hérésie. Il nous faut donc transformer notre vision de l’emploi des seniors. Leur permettre de mieux vivre les dernières années de labeur, notamment en leur permettant de transmettre leur savoir aux autres.

C’est tout l’esprit de la proposition de Conférence Sociale que les centristes ont fait au gouvernement sous forme d’une tribune parue dans Le Parisien en fin d’année 2019.

Avec ou sans le gouvernement, nous irons au bout de cette proposition. Une nouvelle redistribution des richesses doit se penser maintenant pour s’appliquer le plus rapidement possible.

2020 sera donc pour nous une nouvelle année de labeur. Il n’est pas question de lever le pied, encore moins de céder à la sinistrose ambiante. Nous sommes condamnés à aller de l’avant car les transformations du monde se poursuivent et nous ne pouvons plus nous contenter de les subir. Il nous faut les accompagner, voire les anticiper. C’est pour cela que les françaises et les français nous ont élus.

2020 sera aussi, plus prosaïquement, une année d’élections municipales. Elles sont capitales. Capitales car la transformation politique que nous avons entamé doit se poursuivre à l’échelon local. Partout, nous devons mettre en place ce changement dans la conduite des affaires municipales. Les citoyens le réclament. Ils ont de plus en plus d’appétence pour la vie de la cité, au sens noble du terme. Ils demandent, ils réclament à juste titre de participer à la vie de leur commune, pas forcément comme élu, mais comme simple citoyen. Il faut les emmener avec nous. Il en va de la sauvegarde de notre démocratie. Rien ne se fera plus sans eux, ou pire, contre eux.

Je vous sais engagés et prêts à relever ce défi. Je connais votre capacité à imaginer la commune de demain, celle du mieux vivre ensemble enfin retrouvé. Celle du partage, de la construction commune. Vous saurez trouver, en fonction de chacun des territoires sur lesquels vous vous impliquez, les mots, les réalisations, les idées, les solutions, qui permettront à une nouvelle façon de faire la politique communale d’émerger.

Mes chers amis, voilà en quelques mots, ce que je voulais vous dire en ce début d’année 2020. Soyons forts, soyons créatifs et imaginatifs. Vous pouvez compter sur l’engagement sans faille de vos élus nationaux, à vos côtés, mais également aux côtés de notre Président Emmanuel Macron pour que nous transformions l’essai.

A vous toutes et tous, nous souhaitons, une belle année 2020, faite de défis, certes, mais également de nombreuses réussites, pour le bien de tous.

 Sincèrement

Bruno Millienne

Député des Yvelines

Président du Modem78

La réforme des retraites : rencontre avec Jean-Paul Delevoye

Invité par Jean-Noël Barrot, député MoDem de la 2ème circonscription des Yvelines, Jean-Paul Delevoye, Haut-commissaire aux Retraites, est venu à Vélizy le 18 novembre pour participer à un débat auquel plus de  cent personnes ont pris part. 

Cette rencontre était l’occasion de recueillir nos réactions et nos interrogations sur la réforme en cours.

Aujourd’hui, le système des retraites comprend 42 régimes obligatoires différents, dont les bénéficiaires reçoivent une pension moyenne de 1547€ par mois. Mais la réalité de la retraite en 2019 diffère sensiblement du schéma adopté en 1945, date de la création de ces régimes. L’idée de la réforme s’enracine dans le constat suivant : notre système de retraite est un trésor national qu’il nous faut transformer pour mieux le préserver. Cette transformation doit être gouvernée par trois principes.

Le premier est le principe d’universalité. Plus nous serons nombreux à cotiser au même régime, plus la solidarité et la protection seront fortes…

Le deuxième principe est le principe de responsabilité. Il ne fait aucun doute que l’espérance de vie augmente, c’est-à-dire que la démographie est en perpétuelle évolution : cela suppose de prendre des mesures pour conserver l’équilibre financier du système des retraites…

Le troisième et dernier principe est le principe de justice sociale…

Voir la totalité de l’article dans la Lettre d’information du député ICI

Crédits photo TV 78